Joyeux lundi mes paillettes,
J’espère que vous avez passé un bon week-end !
Qu’est-ce que ça fait du bien de refaire des apéros entre ami(e)s ! Je dois dire que j’ai un peu forcé ce week-end, mais c’était tellement bon ces soirées enivrées à rigoler avec les copains… Cela faisait un petit moment que je n’étais pas dans le mood soirées (ceux qui me connaissent savent le pourquoi du comment), je ré-apprends petit à petit à re-goûter à la vie & à profiter de chaque secondes qui me sont offertes. Profiter des rayons de soleil, faire du shopping virtuel et préparer ma wishlist du printemps, bosser la marque, que du bonheur pour ces deux jours de folie !
IL S’EST PASSÉ QUOI CHEZ LAUREMJOY LA SEMAINE DERNIÈRE ?
Cette semaine était la suite logique de la semaine d’avant, je suis toujours dans la préparation des fiches produits de la nouvelle collection qui arrive … super vite !
Beaucoup de business girl également, puisque je travaille sur de jolis projets de partenariats avec des marques, des pop-up stores, des collabs, JA-DO-RE quand ça se trame comme ça ! Certes, c’est beaucoup d’énergie à investir, des déceptions comme de la joie, mais la roue tourne et je vois que ma marque prends de l’ampleur de jours en jours <3
Avec Tiana RKV on vous prépare de belles choses pour notre collab qui arrive pour le weekend de Pâques, soyez aux aguets ! On shoote les produits dimanche, croisez les doigts pour que le soleil soit au rdv car le shoot se fera à l’extérieur au spot de la Rue Crémieux dans le 12è.
Business Girl… en vrai, j’adore ce terme ahha. J’ai lu l’été dernier un livre qui m’a beaucoup marquée, il a été écrit par Sophia Amoruso : #GirlBoss. C’est la BIG BOSS du site de e-commerce Nasty Gal, mondialement connu, surtout aux US.
Dans son bébé littéraire, Sophia Amoruso nous parle de sa success-story. Comment l’ado rebelle-antisociale qu’elle était se retrouve à la tête de l’une des plus grandes entreprises de vente en ligne.
L’histoire de la vie de Sophia Amoruso est juste hallucinante et de voir qu’elle est maintenant la PDG d’une boite qui brasse des millions annuels, ça rend un peu fou.
Ce que j’ai beaucoup aimé dans se livre, c’est qu’elle n’a pas écrit les prémices d’une to-do avec les lignes à suivre pour devenir une GirlBoss. Et c’est plutôt bien vu, parce que le succès ça ne se suit pas comme une to-do-list. C’est à force d’acharnement, de travail et son lot d’emmerdes que ça peu aboutir (ou pas).
Elle nous distille de précieux conseils, surtout pour nous, les femmes qui voudraient se lancer dans un milieu plutôt exclusivement masculin… C’est-à-dire, comment survivre au quotidien. Car bien plus que le domaine de l’entreprenariat, Girlboss c’est 200 pages de pure motivation et ça, peu importe si vos projets futurs touchent la sphère perso ou pro.
Son style d’écriture est vraiment surprenant, car elle nous parle directement, comme si nous étions à une soirée gonz’ avec un verre de vin rouge à la main à papoter business, de nos vies, nos lots d’emmerdes quotidiennes … Le livre est en anglais, il est super simple à lire, mais il faut s’accrocher sur les termes super-spécifiques liés au monde du business purement américain.
D’ailleurs, le ton est donné dès les premières pages de Girlboss, dans lesquelles Sophia nous délivre trois conseils :
- « Ne devenez jamais adulte. »
- « Ne devenez pas ennuyeuse. »
- « Ne laissez jamais l’Homme vous désarçonner. »
Bref. « La vie est courte. Bouge-toi. »
Girlboss se conclut avec ces lignes :
« Les grands entrepreneurs sont comme Indiana Jones : ils font le premier pas avant même de voir le pont, sachant qu’autrement quelqu’un d’autre leur ravira le Graal. A vous de conquérir ce Graal ».
Voilà. Girlboss c’est ça !
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